Nous savons le nom du Signal gate c’est Mike Waltz, Le trumpiste qui a tout fait exploser la sécurité de l’opération révèle The Atlantic.
C’est une menace pour la sécurité des militaires des américains. Nous sommes maintenant l’homme qui a compromis des secrets d’État en ajoutant par erreur le rédacteur en chef de The Atlantic dans une discussion gouvernementale ultra-confidentielle.
Cet ancien militaire, Mike Waltz, à non seulement fragilisé Donald Trump, mais représente aussi un danger direct pour les militaires de l’armée américaine. En exposant des informations sensibles, il aurait pu offrir à l’ennemi une opportunité inédite : exploiter ces données pour localiser des opérations spéciales, anticiper des mouvements stratégiques, ou même identifier des agents sur le terrain.
Une erreur aux conséquences potentiellement mortelles
C’est bien plus qu’une simple bourde. C’est une faille de sécurité majeure qui pourrait coûter des vies. Mike Waltz, 51 ans et tout jeune conseiller à la sécurité nationale, est à l’origine du « Signal Gate », en référence à la messagerie cryptée utilisée par les hauts responsables de l’administration Trump pour discuter d’un plan de guerre au Yémen.
On se demande ici, pourquoi, ils n’utilisent pas une application qui a été développé par le Pentagone ou par une autres administrations.
Depuis la révélation, Trump tente de minimiser problème :
« C’est un pépin sans gravité »
Mais les faits sont là : un journaliste a eu accès à des échanges classifiés. Que pourrait faire l’ennemi avec ces informations ?
Identifier des sources militaires, déjouer des opérations secrètes, ou pire : monter une défense pour tuer des soldats américains.
Le président clame sa confiance en Waltz, mais l’ancien militaire, ex-élu républicain de Floride, est dans une position intenable.
Forcé « d’assumer ses responsabilités », il nie d’avoir jamais contacté Jeffrey Goldberg, le rédacteur en chef de The Atlantic… alors que celui-ci affirme l’avoir déjà rencontré.
Un risque de trahison sous l’Espionage Act ?
Si l’affaire prend une tournure judiciaire, Waltz pourrait être accusé de négligence criminelle, voire de trahison au titre de l’Espionage Act. Une telle fuite, même involontaire, met en péril des vies américaines. Logiquement, son poste est plus que jamais sur la sellette.
Un militaire aguerri, mais imprudent
Nommé en novembre dernier, Waltz était censé incarner la force et la rigueur. Diplômé des Rangers, décoré pour ses missions en Afghanistan, ce dur à cuire était l’un des faucons les plus anti-Chine du Congrès. Pourtant, aujourd’hui, son héritage est entaché par une erreur aux conséquences potentiellement dévastatrices.
Un passé ambigu, un avenir incertain
Pro-Trump mais parfois conciliant, Waltz a toujours navigué entre loyauté et contradictions.
Il a condamné l’assaut du Capitole tout en contestant les résultats de 2020. Opposé à une enquête indépendante sur le 6 janvier, il reste un habitué des plateaux de Fox News, où il cultive son image de patriote intransigeant.
Aujourd’hui, alors qu’il devait accompagner JD Vance au Groenland, son avenir politique est en suspens. Trump affirme encore « avoir de l’estime pour ce patriote », mais pourra-t-il garder son poste avec une telle faille à son actif ?
Une chose est sûre : en matière de sécurité nationale, une seule erreur peut suffire à mettre des vies en danger.
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